Vous pensez être propriétaire de ce que vous publiez sur Facebook, Instagram ou Tiktok ? Permettez-moi d’être honnête, vous possédez de la merde !
C’était ainsi que cela fonctionnait, mais il existe maintenant des alternatives. Si vous ne faites pas confiance à la façon dont Internet fonctionne de nos jours et pensez que The Social Dilemma a raison, continuez à lire. Il existe une alternative : Web3.
Tout d’abord, nous devons comprendre ce qu’est le Web décentralisé. Le Web2 que nous avons aujourd’hui est fortement centralisé entre les mains des grandes entreprises, mais il évolue rapidement vers le Web3. En même temps, le métaverse est la façon dont Internet ou les mondes virtuels fusionneront et s’intégreront dans nos vies pour que nous puissions interagir avec lui de manière transparente. Explorons plus en détail dans cet article les différences entre le Web 3.0 et le métaverse et comment ils se compléteront à l’avenir.
Internet 3.0
Le Web 3.0 est un concept pour la prochaine génération d’Internet. C’est l’évolution de la façon dont les utilisateurs peuvent contrôler et posséder leurs créations et leur contenu en ligne, leurs actifs numériques et leurs identités en ligne.
Le Web 2.0 est ce que nous vivons actuellement. Les entreprises développent et fournissent des produits et services de manière centralisée. Prenez Instagram comme exemple. Pensez-vous que vous êtes propriétaire de votre contenu IG ? Non, l’entreprise possède tout sur la plate-forme et contrôle totalement tout le contenu que les utilisateurs y créent. S’ils veulent vous interdire ou vous bloquer, ils le feront.
Un autre exemple est le jeu en ligne populaire Fortnite. Les utilisateurs n’ont aucun contrôle sur leur identité dans le jeu et sur les actifs qu’ils “possèdent”. Dans le Web 2.0, les utilisateurs ne peuvent pas contrôler et monétiser le contenu qu’ils créent.
Plus de 2,5 milliards de joueurs dans le monde se sont fait mentir sur le fait qu’ils possèdent leurs actifs dans le jeu. Ils ne le possèdent pas.
Dans le Web 3.0, cependant, les utilisateurs peuvent créer du contenu tout en les possédant, en les contrôlant et en les monétisant grâce à la mise en œuvre de la blockchain et des crypto-monnaies. C’est ce qui permet les NFT . Suis-je sûr que vous en avez entendu parler, n’est-ce pas ?
La blockchain peut permettre aux utilisateurs d’interagir avec des services en ligne régis par des réseaux peer-to-peer, qui sont essentiellement un réseau décentralisé d’ordinateurs au lieu du serveur d’une seule entité. Dans un tel contexte, les utilisateurs peuvent posséder leurs données et effectuer des transactions sans autorisation et entre pairs, contournant ainsi le besoin des intermédiaires pour toute personne disposant d’une connexion Internet et de portefeuilles de crypto-monnaie comme Metamask . Le contrôle total des identités numériques et comment et quand les données sont partagées est donc rendu aux utilisateurs avec différentes applications en ligne via leurs clés privées.
Le monde évolue rapidement vers le Web3 . L’internet des actifs :
- D’AWS à IPFS
- De LLC à DAO
- De Chrome à Brave
- De votre banque à Metamask
- Des systèmes centralisés aux blockchains décentralisées
- De Facebook à Steemit
- D’Eve Online à Star Atlas
La confidentialité des données est un autre problème de l’internet Web 2.0 actuel. Alors que les entités centralisées ont un contrôle total sur l’accès au service, elles ont un contrôle total sur les données des utilisateurs. Les utilisateurs s’inscrivent pour accéder à un service et renoncent à leurs précieuses données et contenus privés en échange de la commodité du service, en acceptant les conditions des services. Cependant, dans le Web 3.0, aucune entité n’a le contrôle de l’accès au service car il est ouvert à tous. Aucune inscription n’est nécessaire, les utilisateurs ont alors un contrôle total sur leurs données privées, mais en même temps, les utilisateurs doivent assumer la responsabilité de protéger leurs propres données et actifs car ils deviendront les seuls dépositaires.
Je pense que le Web2 l’a remarqué, et il se dirige déjà vers le Web3. Twitter, par exemple, a déployé la vérification des photos de profil NFT .
Récemment, nous avons vu de nouveaux comportements de consommation fantastiques émerger des initiatives Web 3.0, comme l’essor des jetons non fongibles (NFT), des jeux de jeu pour gagner (P2E) et des organisations autonomes décentralisées (DAO) .
Pour les applications potentielles du Web 3.0, puisqu’il est présenté comme le standard d’une nouvelle génération d’internet, on peut le considérer comme un ensemble de règles et de lignes directrices applicables à chaque internaute. En conséquence, le Web 3.0 serait applicable à l’ensemble de l’Internet au lieu de seulement certaines applications.
Le métaverse
Le mot « métaverse » est à l’origine du roman de science-fiction « Snow Crash » de 1992. Récemment, Facebook a introduit le Metaverse dans le grand public en se rebaptisant “Meta”. Le Métaverse n’est pas encore une réalité concrète, alors que la vision de celui-ci est un monde immersif en 3D où nous passerons beaucoup de temps à socialiser, travailler, nous divertir, apprendre , etc. C’est la combinaison de la réalité virtuelle (VR), augmentée réalité (AR), réalité mixte (MR), jeux, crypto-monnaies, médias sociaux et bien plus encore.
Pour le dire en termes très simples, le Metaverse est une nouvelle façon pour les gens d’utiliser Internet en le transformant de la 2D à la 3D. Au lieu de parcourir et d’interagir avec le contenu Web en cliquant et en feuilletant différentes pages et onglets sur les écrans 2D des ordinateurs ou des téléphones mobiles, ce contenu Web est transformé en objets tridimensionnels. Prenons l’exemple des jeux en ligne, au lieu de jouer aux jeux sur une page Web 2D. La page Web est transformée en un espace 3D où les utilisateurs peuvent se promener à l’intérieur, interagir avec d’autres utilisateurs et jouer aux jeux en tant qu’avatars dans le jeu. Les utilisateurs peuvent interagir virtuellement avec le contenu Web et s’immerger dans l’espace virtuel. Avec l’intégration de casques de réalité virtuelle, les utilisateurs peuvent même vivre une expérience immersive visuellement et physiquement.
Pour les applications potentielles du métaverse, il devrait s’agir d’une dimension émergente qui rassemble les médias sociaux, le travail, le divertissement, les jeux et l’éducation sur une seule plate-forme, en reflétant nos activités dans le monde réel.
Web 3.0 et le métaverse — l’avenir
Nous avons donc parcouru les différentes définitions du Web 3.0 et du Metaverse, voici la question importante : Comment le Web 3.0 et le Metaverse se complètent-ils à l’avenir ?
Je veux dire qu’il est idéal d’avoir un métaverse “ouvert et décentralisé” où aucune entité n’a le contrôle sur les données et les actifs des utilisateurs. Cependant, il semble qu’à ce jour, la majorité des métaverses en phase de démarrage appartiennent à différents fournisseurs de services. Avec Facebook se rebaptisant “Meta” et embauchant 10 000 personnes pour travailler au développement du Metaverse, certaines personnes ont affirmé que ce n’était qu’un stratagème pour que l’entreprise se distancie des scandales de la sécurité des données et de la vie privée des utilisateurs. Pour le regarder de manière plus positive, l’entrée de Facebook dans le métaverse contribue à rassembler un afflux de capitaux (50 millions USD) et de talents (10 000 nouveaux emplois) pour construire son infrastructure de métaverse et a contribué à amener l’idée du métaverse à la conscience dominante. .
Cependant, des entreprises comme Facebook sont des fournisseurs d’identité centralisés, ce qui signifie que les identités et contenus numériques créés par les utilisateurs sur leurs plateformes sont stockés sur des serveurs centralisés sur lesquels les utilisateurs n’ont aucun contrôle. Cela signifie que ces entreprises sont à la fois des fournisseurs de technologie, des décideurs et des propriétaires de données.
Comme nous l’avons vu ces dernières années, ces entreprises technologiques sont souvent de piètres gardiens des intérêts des utilisateurs et de nos données. Alors que de nombreux nouveaux entrants sur le marché du métaverse dessinent les grandes lignes de la vision future du métaverse, il est important que la mise en œuvre de la décentralisation et la propriété des utilisateurs soient prioritaires, et cela peut être réalisé par l’ensemble de règles et de lignes directrices que le Web 3.0 fournit .
Les technologies du Web 3.0 et du métaverse se soutiennent parfaitement. Bien que le Metaverse soit un espace numérique alors que le Web 3.0 privilégie un web décentralisé, il pourrait servir de base à la connectivité dans le Metaverse. D’autre part, l’économie des créateurs dans le Metaverse peut bien compléter la vision du Web 3.0 en développant un tout nouveau monde financier avec la mise en œuvre de solutions décentralisées.
Alors que nous nous dirigeons vers un Web 3.0 décentralisé, nous devons réfléchir au type d’Internet que nous voulons souligner dans le métaverse. Comme le métaverse concerne la fusion entre les mondes virtuels et physiques, il est très important d’avoir une chaîne publique interopérable et open source pour s’assurer que différents mondes virtuels pourront s’interconnecter, en apportant des actifs les uns aux autres et en mesure de se chevaucher. de manière transparente.
Alors que le Web 3.0 s’est bien développé avec la croissance exponentielle des NFT, des jeux P2E et des DAO récemment, il reste encore un long chemin à parcourir pour le développement complet du métaverse et beaucoup plus de place pour se développer en termes de technologie qui rendra le métaverse expérience totalement immersive.
Le Métavers du Web 3.0 manifestera la nouvelle réalité mondiale ouverte et décentralisée apparaissant dans la virtualité. J’ai hâte de voir comment le Web 3.0 et le Metaverse vont évoluer dans le futur !
D’accord! J’espère que c’était utile!
